Mr Blue Sky

(###) Electric Light Orchestra

Où commence le ciel

Où commence le ciel, une exposition qui se tient à l'église Saint Merry.

(###) Sur commande, Emilie Simon

By the water of Babylon

(###) Don McLean - Babylon

Les “bagnards” du journalisme existent-ils ?

Quand on aborde la question de l’avenir du journalisme avec des experts, ceux-ci sont souvent pessimistes. A les lire, les journalistes vivent en ce moment un appauvrissement de leur métier, comme cela est arrivé aux ingénieurs informaticiens il y a quelques années, et aux artisans avant eux. Ces derniers sont devenus ouvriers, se concentrant sur des tâches simples, demandant moins de savoir-faire et permettant d’aller plus vite, tandis que les ingénieurs deviennent développeurs. Les ouvriers assemblent des écrous tandis que les seconds sont de plus en plus amenés à programmer à la chaîne, alignant les lignes de codes.

Pour les journalistes, la même (...)

La suite est à lire sur le blog Parenthèses de L'Atelier en cliquant ici.

We are the 90's

Un drapeau irlandais s'ébat au milieu du public, devant
les spots de la grande scène du parc de Saint-Cloud.

(###) Sonic Youth, qui assure la bande originale de la bonne surprise de la journée : Simon Werner a disparu. Un lycée français filmé à la Gus Van Sant, où l'on est plongé dans un thriller adolescent prenant, même si - comme c'était déjà le cas dans Elephant dont l'influence est palpable, pour ne pas dire écrasante - l'histoire passe au second plan derrière les personnages. Ceux-ci sont tous interprétés par une batterie de jeunes acteurs plutôt doués. Le milieu des années 90 - une époque où on pouvait encore voir Noir Désir en concert - est reconstitué de manière crédible, avec ce petit côté rétro - déjà - l'absence de téléphone portable dans les cours de récré et ces "boom" rock qu'on organisait dans le garage des parents en ingurgitant des litres d'alcool. 

Gamers World

(###) Les blousons noirs de Black Rebel Motorcycle Club (tout un programme) font dans l'énergie punk, mais aussi dans la folk douceâtre (###)

Un air lassé de reine alanguie

Baiser osé

(###) Souchon, qui n'était pas à Rock en Seine, mais aperçu à la fête de l'Humanité.

Mc Enroe's poetry

(###) Dionysos

Robe d'été

(###) Cocoon s'imposait.

Abandonné

(###) Saez, dont on sent qu'il a perdu beaucoup de doudous dans son enfance.

Babel

Tordu(e) tour du monde

(###) Tordu tour du monde - Tarmac

Infuria

L'océan en furie

(###) I might float - titre issu de Brotherocean, le dernier album des français très doués de Syd Matters.

Les cornes de la mer

(###) Animal Arithmetic - Jonsi

Marylin à la fenêtre

(###) Happy Birthday Mister President

Drapeau rouge

(###) Fin de siècle (remix) - Noir Désir (GLYO Andrej remix)


Y'avait les drapeau du grand soir
Y'en avait des rouges, y'en avait des noirs
Aussi loin
Que je me souvienne, loin!
Quand les missiles montaient tout droit

Au ciel
Nous on veut de la vie
Longtemps, longtemps, longtemps
longtemps
Longtemps, longtemps, longtemps

Il y a qu'on nous prépare
A une énième révolution
D'ordre
Spectaculaire
Venez voir
Des réseaux résolus
A câbler l'infini,
Et l'univers
Vibrillonant de mille éclairs

Comme une étoile filante

Les manèges de la Fête de l'Humanité

(###) Les étoiles filantes - Les Cowboys Fringants

How many shoulders will I break ?

(###) On my shoulders - The Do

"Laissez passer l'homme libre"

Je clos là la journée à thème.

(###)

My mind like a knife

Je n'en remets pas une couche. Mais c'est un film qui donne envie de se perdre dans les montagnes ou à défaut de vider une bouteille dans le noir en écoutant la "chanson triste".

(###) The sad song - Fredo Viola
(###) La même, revisitée par Tuung

Pour les siècles des siècles

Je vous invite à aller voir Des hommes et des dieux, de Xavier Beauvois. Un film bouleversant sur les moines de Tibhirine. Il y est question de tolérance, de foi - et de son corolaire, le doute -, de religion, de terrorisme, d'espoir, mais avant tout, c'est un film sur l'humanité. Nos humanités. La sérénité y balance la tension avec une justesse poignante.  Les acteurs sont tous époustouflants, la mise en scène est lumineuse. Un chef d'oeuvre.

(###) A pagan lament (lamentation païenne) - Fredo Viola

N. Smyth & Co. Ltd

Old School Dublin

(###) Folk irlandais

Un indien flou

Peintures de guerre

(###) Indian War Whoop

Ténébreux

(###) Aux sombres héros de l'amer - Noir Désir

Cette chanson a été le premier vrai succès du groupe, et c'est sans doute elle qui l'a fait connaître au grand public. Il ne faut pas y voir une chanson de marin (comme une première écoute pourrait le laisser penser) mais une ode à la poésie ("les naufragés et leurs peines qui jetaient l'encre ici et arrêtaient d'écrire..."). Refusant d'être appréciés pour une chanson dont peu comprennent le sens réel, le groupe l'a donc tout simplement banni de son répertoire de concert. 

Vigie

Kilcrohane, Irlande

(###) Land, Patti Smith. Un cri poussé d'une voix un peu crispée par des générations de moussaillons. En tout cas c'est comme ça que ça se passait dans les albums de Barbe Rouge (ma référence en termes de marine à voiles).

Le feu des projecteurs

A Rock en Seine. La lumière était photogénique mais je ne me souviens plus de qui il s'agissait, je ne suis pas resté longtemps. C'était pas terrible, ou pas mon style. Ou pire, les deux à la fois.

(###) Une autre chanson de Two Door Cinema Club qui étaient eux aussi à Rock en Seine et qui pour le coup était terribles sur scène (mais très roux, quand même).

Bas de plafond

Un petit tour aux rencontres photographiques d'Arles. Dans les hangars où avaient lieu une partie des exposition, pendant que tout le monde admirait les travaux néo-réalistico-impressionnistes d'un photographe Hongrois trop talentueux pour être connu, je regardais le plafond (très néo-impressionniste, lui aussi).

(###) Du coup, les Beach Boys , tout ça m'a rappelé les vacances...

ARAMAT

ewerD aramaT

Tamara Drewe, le dernier film de Stephen Frears, une adaptation d'un comic de Posy Simmond.
Une comédie fraîche et champêtre très réussie, notamment grâce à des seconds rôles hilarants.

(###) Le refrain de cette chanson des nord-irlandais de Two Door Cinema Club s'applique assez bien au personnage principal. Leur premier album est excellent de bout en bout.